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Délibération 17540312(06)
Nature |
Délibération en séance plénière |
Code de la délibération |
17540312(06) |
CODE de la session |
17540131 |
Date |
12/03/1754 |
Cote de la source |
C 7491 |
Folio |
218v |
Espace occupé |
15 pages |
Texte :
Monseigneur l'Eveque de Montpellier a dit que MM. les Commissaires des travaux publics s'etant assemblés chez luy, il a été rendu compte de ce qui a été fait pendant le cours de l'année au sujet d'un memoire adressé à Monseigneur l'archeveque de Narbonne par M. le Garde des Sceaux contenant different projets pour la communication du Languedoc avec les Provinces voisines et principalement avec le Rouergue et l'Auvergne ; sur lequel memoire il fut deliberé le 2 decembre 1752 d'autoriser MM. les Commmissaires des travaux publics pendant l'année à prendre à ce sujet tous les eclaircissements qu'ils jugeroient necessaires pour sur le raport qui en seroit fait aux Etâts etre par eux deliberé ce qu'il appartiendroit.
Que le memoire contenant ces differents projets fut communiqué aux diocezes qui pouvoient y avoir interet tels que Montpellier, Alais, Mende, Beziers, Lodeve, Alby et quelques autres avant la tenue des assiettes, affin qu'il pût y etre deliberé sur l'utilité qui peut resulter pour le commerce des denrées ou des marchandises ; sauf toutefois pour ce qui regarde la route de communication d'Alais au Puy et de la en Auvergne en passant par le Gévaudan ou le Vivarais, attendu qu'il est prealable que Sa Majesté ait determiné elle même ce qui regarde l'allignement et emplacement de cette roûte.
Que lesdits diocezes ont pour la plupart fourni leurs reponses à cette communication. Que ceux d'Alby et de Toulouze qui prennent interet au chemin depuis Toulouze jusqu'à S(ain)t Flour et Clermont passant par Alby, le pont de Tanus, Rodez et Espalion representent que cette roûte vient d'etre reparée à neuf jusqu'à Gaillac et qu'il seroit essentiel de la continuer depuis Gaillac jusqu'au pont de Tanus qui est à l'extremité de la Province, en faisant deux ponts sur le Tarn, l'un à la pointe de S(ain)t Sulpice, et l'autre à Marsal ; mais qu'il ne peut etre pourveû à cette depense que sur le produit de la crüe du sel, attendu que sans ÿ comprendre les deux ponts dont on vient de parler, on l'a fait monter dans le memoire qui a été communiqué à la somme de quatre cent vingt mille livres, et qu'en la reduisant à la partie la plus urgente qui est la descente du pont de Tanus, elle reviendra à cent trente mille livres .
Que le dioceze d'Alby trouve encore un avantage sensible pour la vente de ses grains dans la roûte de communication de Montpellier à S(ain)t Flour passant par Lodeve et la Pezade en ce qu'au moyen du chemin qui est deja fait en Roüergue passant par S(ain)t Sernin, Vabres et S(ain)t Affrique, il y aura une communication courte et aisée avec le bas Languedoc.
Que les autres diocezes du haut Languedoc auxquels le susd. memoire a été communiqué, ont declaré n'y prendre aucun interet par l'eloignement ou ils se trouvent des routes proposées.
Que les diocezes de Montpellier, Beziers, Alais et Mende conviennent de l'utilité de la communication proposée avec l'Auvergne passant par Milhau et allant aboutir à S(ain)t Flour mais que le dioceze d'Alais paroit preferer la communication du côté de Ganges, le Vigan et Sauclieres (Sauclierettes), à celle qui est proposée du côté de Lodeve soit par raport à la diminution de depense, soit aussi par raport à l'utilité particuliere que le commerce pourroit en retirer ; à quoy cependant il âjoute que l'avantage qu'il en retireroit ne seroit proportionné ni à la depense totale de cette communication ni même à celle des parties urgentes ; que l'un et l'autre est au dessus de ses forces ; que d'ailleurs ce chemin mis à la largeur proposée seroit d'un entretien ruineux et que la traite des sels par Espalion en Rouergue etant le veritable motif du projet d'adoucir les cotes d'Olive, d'Alzon et du Capellier, il est juste d'en prendre la depense sur le produit de la crüe du sel.
Que le dioceze de Montpellier etant à portée de profiter de la communication proposée par Lodeve et de celle qui est aussi proposée par Ganges et le Vigan, n'a rien dit de particulier, d'autant plus que l'un et l'autre desd. chemins sont en bon etât pour les parties qui le concernent à l'exception d'une partie du côté de Gignac.
Que le dioceze de Beziers se bornant aux deux articles qui le regardent scavoir la montée et la descente du bois appellées la Taillade de Gignac et le chemin depuis lad. ville jusques la riviere d'Heraut ou il est proposé de faire un pont à trois arches, a repondu que le premier de ces deux articles peut etre suspendu parce que cette partie est passante dans l'etât ou elle est, mais que le second est tres interessant pour le commerce qui se trouve interrompu dans les têms de crües de la riviere ; que Gignac est sur la roûte de Montpellier en Rouergue et en Auvergne, qu'il se fait pour cette roûte un transport considerable de toutes sortes de marchandises et qu'il est important d'en assurer la communication dans tous les têms.
Que le dioceze de Lodeve insiste sur la necessité d'ouvrir la communication avec S(ain)t Flour et Clermont en Auvergne en passant par Gignac, Lodeve, Soubez et la Pezade ou finit le Languedoc, et on l'on va joindre le grand chemin de Rouergue nouvellement construit.
Que cette communication est plus courte qu'aucunne autre, même que celle de Montpellier par Alais et le Puy, qu'elle est aussi moins couteuse qu'une partie du chemin fait et ce qui reste à faire depuis Soubez jusqu'à la Pezade, n'etant que de trois lieues et trois quarts.
Que l'utilité de cette roûte est sensible pour le commerce, soit par raport à la voiture des draps fabriqués à Lodeve pour l'habillement des troupes et des etoffes du Gévaudan et du Rouergue, soit aussi par raport à la traite des sels dont le transport se faira par charrette au lieu de se faire au dos de mulet. Qu'il en resultera encore un grand avantage pour l'exportation ou l'importation des marchandises et denrées qui se repandroient dans l'interieur du Royaume à la faveur de cette grande roûte, que ce dernier article est d'autant plus considerable que tout ce qui entre dans la Province ou qui en sort par les ports de Cette et d'Agde, et les denrées et marchandises venant de Beziers et de Narbonne peut profiter de cette route au moyen du chemin deja fait de Lodeve à Pezenas ; et que pour ce qui est de la depense, le dioceze en temoignant la bonne volonté pour concourir à un projet qu'il regarde comme si interessant demande aux Etâts leur protection pour luy fournir les ressources necessaires pour travailler à la partie qui le concerne dont l'evaluation monte en tôtal suivant ce qui a deja été dit à cent cinquante trois mille livres.
Que le Gévaudan a observé que parmi les routes qui sont proposées dans le memoire qui luy a été communiqué, il y en avoit une qui deviendroit tres utille aud. pais de même qu'au general de la Province qui est celle de Montpellier à S(ain)t Flour en passant par Gignac, Lodeve et Milhau, mais qu'au lieu de se borner à la faire passer par Espalion et Chaudesaïgues, il faudroit l'ouvrir encore par Marvejols et S(ain)t Chely en partant de la Glene, et en allant aboutir au lieu de La Garde, ou l'on entreroit dans le grand chemin d'Auvergne à trois lieues en deça de S(ain)t Flour, au moyen de quoy cette grande routte auroit deux branches dont celle qui passeroit par le Gevaudan se trouveroit etablie au centre du pais et luy seroit tres avantageuse pour le transport de ses etoffes et la consommation de ses denrées. Que cette route seroit plus courte que celle d'Espalion et de Chaudesaigues, que les frais de construction n'en seroient pas fort considerables, puisqu'il s'agit seulement d'une etendue de 10 à 11 lieues, et que si on juge à propos de prendre cette route en consideration, il sera aisé de prendre les eclaircissements necessaires pour etre convaincû de son utilité et de la facilité de son execution. Qu'independamment des eclaircissements dont on vient de parler resultant de la communication qui a été donnée aux diocezes du memoire contenant les differents projets de communication du Languedoc avec les provinces voisines, il a été remis par le S[ieur] Lemazurier inspecteur des manufactures un memoire d'observations dans lequel après avoir adopté le projet de communication avec l'Auvergne en passant par Lodeve, la Pezade et Milhau, il combat celuy de continuer led. chemin par la Glene, Laissac, Espalion, la Guyote et Chaudesaïgues et propose en partant de Milhau de passer par Marvejols et S(ain)t Chely pour arriver à S(ain)t Flour ; ce qui revient au projet du Gevaudan, avec cette difference que la communication d'Espalion à S(ain)t Flour par Chaudesaigues est regardée par le Sieur Lemazurier comme impraticable presque tout l'hiver, et bien difficile pour les autres saisons, au lieu que celle de Milhau à S(ain)t Flour par Marvejols et S(ain)t Chely est selon luy la seule qui peut etre frequentée ; qu'il en a fait reconnoitre les avantages pour le commerce des etoffes du Gevaudan et le prejudice que causeroit à ce même commerce l'execution du projet de la communication d'Espalion à S(ain)t Flour par Chaudesaigues. Que d'ailleurs la route de Milhau à S(ain)t Flour par Marvejols et S(ain)t Chely etant actuellement pratiquée et plus courte que l'autre, merite par cette raison la preference, apres il entre dans le detail de cette même route, en indiquant les endroits par ou elle passe et les changements qui peuvent etre faits pour la rendre encore plus praticable. Qu'enfin led. Sieur Lamazurier a aussi joint à son memoire un etât des principales marchandises de sortie et d'entrée dans la Province auxquelles la route par Milhau et le Gévaudan sera propre preferablement à toute autre, ce qui se trouve conforme avec l'observation faite par le dioceze de Lodeve sur la communication deja etablie avec Lodeve par Pezenas avec Cette, Agde, Beziers et Narbonne.
Que la commission apres avoir examiné tout ce qui resulte des memoires et reponses ci dessus a crû pouvoir reduire à deux objets principaux les differents projets qui furent communiqués aux Etâts l'année derniere.
Que l'un de ces projets est la grande route de Toulouze à S(ain)t Flour passant par Gaillac, Alby et le pont de Tanus, et l'autre est la communication de Montpellier à S(ain)t Flour passant par Lodeve et Milhau.
Que le premier article n'a point parû demander un examen particulier, puisque l'utilité et la necessité de cette communication se trouvent prejugées par les ouvrages qui ont été faits depuis Toulouze jusqu'à Gaillac.
Que cette partie du chemin suppose necessairement qu'il sera continué jusqu'à l'extremité de la Province et qu'il sera même imparfait jusqu'à la construction de deux ponts sur le Tarn, principalement de celuy de la pointe de S(ain)t Sulpice et que pour ce qui est de la depense, il semble qu'on ne peut ÿ fournir que sur le produit de la crüe de cinq sols par minot de sel qui a été etablie à cette occasion et qui est bien plus que suffisant.
Que le second article a parû meriter plus de discution sur les differentes parties qu'il renferme, mais qu'on s'est reuny à regarder la communication avec S(ain)t Flour et Clermont par Lodeve comme preferable à celle du Vigan, soit parce qu'elle est plus directe, soit aussi parce qu'elle remplit tous les objets du commerce et de la traite des sels.
Que l'utilité de cette communication a parû assés sensible pour devoir en faire desirer l'execution et qu'apres avoir examiné ce qu'il y a à faire de plus pressant et de plus indispensable sur cette routte, on a trouvé d'une part que c'etoit le pont sur l'Heraut aupres de Gignac evalué à cent vingt deux mille livres et de l'autre la partie du chemin à construire à neuf depuis Soubez jusqu'à la Pezade evaluée à cent cinquante trois mille livres, au moyen de quoy le reste de la route etant deja passant et frequenté, on pourra se promettre d'en retirer les âvantages qu'on a lieu d'en attendre pour le commerce.
Que pour ce qui est de la depense du pont sur l'Heraut, la ville de Gignac a offert d'y contribuer en abandonnant le prix du quart de reserve de ses bois, qu'on evalue à quarante mille livres mais que cette ressource n'etant pas suffisante et la routte dont il s'agit devant servir à la traite des sels de Montpellier à Espalion, il y a lieu de se flatter d'obtenir de Sa Majesté qu'il y sera pourvû sur le produit de la même crüe sur le sel ; et que cette ressource est d'autant plus necessaire que les diocezes de Montpellier, de Beziers et de Lodeve ni même la Province ne sont point en etât d'entreprendre de pareils ouvrages, ni même d'y contribuer attendu les autres depenses de même nature auxquelles ils sont deja exposés et dont il n'est pas necessaire de faire le detail.
Mais que tous les avis se reunissant à etablir la communication avec l'Auvergne en passant par Lodeve, il n'en est pas de même pour ce qui regarde le reste du chemin depuis Milhau jusqu'à S(ain)t Flour, puisque le projet proposé par le S[r] Lemazurier et qui est conforme à la reponse du Gevaudan est absolument contraire à celui qui etoit indiqué par le memoire qui a été communiqué aux Etâts ; que s'il faloit juger par les reflexions sur l'avantage qu'on doit tirer de l'une ou de l'autre route, et sur l'inspection de la carte, on seroit porté à se determiner en faveur de la route qui passe par Maruejols et S(ain)t Chely, mais que cette determination a paru meriter un plus grand examen qui pourra etre continué pendant le cours de cette année et donner lieu à des verifications particulieres dont il pourra etre rendu compte dans la prochaine assemblée des Etâts.
Que l'indetermination necessaire et indipensable sur cette partie du projet n'influe point sur l'execution de la partie dont on a parlé ci dessus comme on l'a remarqué. Les avantages en sont sensibles, non seulement pour les diocezes de Montpellier, Beziers et Agde mais encore pour le dioceze d'Alby qui en profitera par le nouveau debouché qu'elle procurera pour la vente de ses grains au moyen des chemins qui sont deja faits en Rouergue jusqu'à la Pezade. De sorte qu'en resumant l'avis de MM. les Commissaires sur tout ce qu'on vient de dire, ils ont crû devoir proposer à l'assemblée de deliberer de supplier Sa Majesté de donner ses ordres pour la continuation du chemin depuis Gaillac jusqu'au pont de Tanus, et pour la construction de deux ponts sur le Tarn, l'un à la pointe de S(ain)t Sulpice et l'autre à Marsal au moyen du produit de la crüe de cinq sols sur chaque minot de sel qui a été ordonnée à l'occasion dud. chemin et qui n'a pas discontinué depuis ; comme aussi d'approuver le projet de communication de Montpellier à Milhau en passant par Lodeve et Soubez jusqu'à la Pezade et de supplier Sa Majesté de vouloir bien, attendû l'usage de lad. route pour la traite des sels et l'impossibilité ou se trouvent les diocezes de Montpellier, Beziers Lodeve et même la Province de fournir à cette depense, permettre qu'il ÿ soit pourveû sur le produit de la même crüe sur le sel, et que les parties les plus urgentes soient mises en etât au moins provisoirement pour que les charrettes ÿ puissent passer.
Enfin qu'avant de prendre une derniere determination sur la partie du projet depuis Milhau jusqu'à S(ain)t Flour, il sera pris de nouveaux eclaircissements tant sur la route d'Espalion et Chaudesaigues que sur celle qui doit passer par Maruejols et S(ain)t Chely et aboutir au lieu de Lagarde à trois lieües de S(ain)t Flour, lesquels eclaircissements doivent avoir pour objet, d'examiner laquelle des deux communications sera la plus utile pour le commerce, la plus courte, la moins couteuse, la plus praticable dans toutes les saisons et surtout dans l'hiver, auquel effet il convient de donner pouvoir aux Commissaires qui seront nommés d'en faire faire la verification en la forme qu'ils jugeront la plus convenable pour ce qui resultera des eclaircissements qui auront été pris sur tous ces points et sur le compte qui en sera rendu aux Etâts dans leur prochaine assemblée et pris telle deliberation qu'il appartiendra.
Ce qui a été deliberé conformement à l'avis de MM. les Commissaires et il a été donné pouvoir à MM. les Commissaires des travaux publics de prendre tous les eclaircissements et de faire proceder aux verifications qu'ils jugeront convenables sur l'execution de la presente deliberation.
Economie |
17540312(06) |
Commerce |
Avis des dioc. consultés sur communic. avec Auvergne; route Gaillac/Tanus : grains (Albi); route Millau :draps, étoffes Gévaudan et Rouergue, traite sels par charrettes et non mulets (Lodève, Mende), import./export. Sète-Agde (Béziers, Agde, Montpellier) |
Action des Etats
Agriculture, élevage, commerce, industrie |
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Commissions |
17540312(06) |
Mode de fonctionnement |
La commission des Travaux Publics s'est réunie chez l'évêque de Montpellier |
Eléments concernant l'assemblée, ses membres et son fonctionnement
Institutions et privilèges de la province |
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Economie |
17540312(06) |
Travaux publics |
Examen du mémoire du Garde des Sceaux sur la communication du Languedoc avec les prov. voisines : 1- Route Toulouse/St-Flour jusqu'au pont de Tanus (2 ponts sur le Tarn à construire : pointe St-Sulpice, Marsal); financem. : crue 5 s./minot de sel |
Action des Etats
Travaux publics et communications |
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Economie |
17540312(06) |
Travaux publics |
Exam. du mém. du Garde des Sc. sur la commun. du Languedoc avec prov. vois. : 2-Route Montpellier-St-Flour; 2 variantes : a) par Le Vigan b) par Lodève-Millau (pont de Gignac et route Soubès/La Pezade); choix Espalion-Chaudesaigues ou Marvejols-St-Chély |
Action des Etats
Travaux publics et communications |
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Economie |
17540312(06) |
Travaux publics |
Exam. du mém. du Garde des Sc. sur la commun. du Languedoc avec prov. vois. : les Etats renvoient la décis. sur la route Millau/St-Flour, attendant des éclairciss. sur 2 variantes (Espalion/ Chaudesaigues, ou Marvejols/ St-Chély soutenue par Lemazurier) |
Action des Etats
Travaux publics et communications |
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Doléances mentionnées dans les délibérations |
17540312(06) |
Travaux publics |
Le roi sera supplié de permettre de financer le pont de Gignac et la route Soubès/La Pezade par la même crue sur le sel ordonnée pour la route Toulouse/Gaillac et qui doit servir pour la prolongation Gaillac/Tanus |
Action des Etats
Travaux publics et communications |
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Economie |
17540312(06) |
Travaux publics |
Le Garde des Sceaux a adressé à l'archevêque de Narbonne un mémoire à examiner par les diocèses et les Etats sur les communications entre le Languedoc et les provinces voisines, principalement le Rouergue et l'Auvergne |
Action royale
Travaux publics et communications |
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